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Bar à Vins – Restaurant – Caviste


Lieu de détente pour un verre de vin, des tapas, une soirée jazz ou un repas de plats champêtres.

Carte élaborée des vins des Terrasse du Larzac à consommer sur place ou à emporter

(Tarif calqué sur le prix de vente chez le vigneron)


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vendredi 13 mars 2009

Dégustation à l'aveugle - lundi 9 mars


Lundi soir étant le second lundi du mois, nous avons dégusté à l’aveugle. Ce nouveau rendez-vous sera maintenant un incontournable à la Terrasse – enfin vous pouvez le contourner mais nous, nous ne nous en priverons pas. Pour résumer : une heure et demie (le temps se distord parfois pour ceux qui apprécient. Il se peut que ça aie duré une paire d’heures…).

En résumé :

Le premier vin était rond, sur le fruit jaune mais pas trop mûr, avec une belle fin de bouche minérale, et un peu tendu.

Nous sommes passé par l’Alsace, la Loire et le Languedoc, avant de découvrir à la surprise générale, sauf la mienne, qu’il s’agissait d’un Picpoul de Pinet, Domaine de la Grangette, L’Enfant Terrible, en 2005. Beau vin, avec une bonne tenue en bouche et de quoi tenir encore quelques années. Comme quoi le Picpoul peut être sérieux. Même si c’est toujours meilleur à la criée de Sète, de l’année, frais, et avec une douzaine d’huitres.


Numéro deux, là on a été surpris aussi, mais plus près du but. En effet deux opinions se sont faites assez rapidement : Un Palomino oxydé de style Xéres, voyez Palo Cortado ou Oloroso mais très sec (moi); ou bien un vin jaune du Jura (les autres). Donc 0-1 pour les visiteurs, on buvait un Arbois (pur Savagnin) 1988 de chez Barthod. Au moins je ne peux pas dire que j’avais gouté.


De là on est passé à un petit rosé - Je dois tout de suite dire que le second vin était le seul que je n’avais pas ouvert moi-même - beaucoup ont pensé à des choses comme du Gamay travaillé dans la légèreté ou des Grenaches en macération carbonique, tout ça en rouge.

... Et non, ahaha, c’était un Rosé Pourpre de chez Peyre Rose 2002. On était assez loin - sauf moi étant au courant.

« Last but not least » (finalement), un petit rouge, avec 9 personnes d’accord sur la provenance : Ici. Bon, 8 si vous ne me comptez pas, après tout c’était une de mes bouteilles... En tout cas du fruit très mur, très noir, des tannins fondus et beaucoup de richesse. Pas du Montpeyroux mais du Saint Saturnin, et pas mal pour l’âge vu que le consensus parlait du début de la décennie et que l’on était sur un Virgile Jolly 2000.

Merci à ceux qui sont venus, et à ceux qui ont apporté une bouteille. J’espère que nous seront plus nombreux la prochaine fois.


N’oubliez pas : c’est gratuit et on passe un bon moment (instructif). Amenez une bouteille si vous pouvez (il faut bien que je m’amuse aussi).


A très bientôt.


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